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Auteur Françoise Montravers |
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Phéochromocytomes et paragangliomes : quelle imagerie et quel suivi ? / alexia Savignac in Docteur imago, 30 (Décembre 2022 - Janvier 2023)
[article]
Titre : Phéochromocytomes et paragangliomes : quelle imagerie et quel suivi ? Auteurs : alexia Savignac ; Françoise Montravers ; Laurence Rocher Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 34-39 Langues : Français (fre) Résumé : Les PHEO/PGL sont des tumeurs neuroendocrines rares qui relèvent d’une prise en charge spécialisée. Elles sont souvent découvertes fortuitement, parfois sur des symptômes liés à une hypersécrétion de catécholamines ou à un syndrome de masse. L’imagerie anatomique repose sur le scanner injecté et l’IRM, qui montrent des tumeurs le plus souvent hypervasculaires, parfois hémorragiques voire kystiques. Les PGL doivent être recherchés de la base du crâne au pelvis, mais sont beaucoup plus fréquemment sécrétants à l’étage abdominopelvien (rétropéritoine). De nombreuses formes familiales/syndromiques existent ; toute découverte de PHEO/PGL nécessite une consultation d’oncogénétique. L’imagerie fonctionnelle (TEP FDG et TEP DOPA surtout) est utile pour la caractérisation et le bilan d’extension. La prise en charge est chirurgicale pour toute lésion résécable et non métastatique ; la surveillance est maintenue à vie.
in Docteur imago > 30 (Décembre 2022 - Janvier 2023) . - p. 34-39[article] Phéochromocytomes et paragangliomes : quelle imagerie et quel suivi ? [] / alexia Savignac ; Françoise Montravers ; Laurence Rocher . - 2022 . - p. 34-39.
Langues : Français (fre)
in Docteur imago > 30 (Décembre 2022 - Janvier 2023) . - p. 34-39
Résumé : Les PHEO/PGL sont des tumeurs neuroendocrines rares qui relèvent d’une prise en charge spécialisée. Elles sont souvent découvertes fortuitement, parfois sur des symptômes liés à une hypersécrétion de catécholamines ou à un syndrome de masse. L’imagerie anatomique repose sur le scanner injecté et l’IRM, qui montrent des tumeurs le plus souvent hypervasculaires, parfois hémorragiques voire kystiques. Les PGL doivent être recherchés de la base du crâne au pelvis, mais sont beaucoup plus fréquemment sécrétants à l’étage abdominopelvien (rétropéritoine). De nombreuses formes familiales/syndromiques existent ; toute découverte de PHEO/PGL nécessite une consultation d’oncogénétique. L’imagerie fonctionnelle (TEP FDG et TEP DOPA surtout) est utile pour la caractérisation et le bilan d’extension. La prise en charge est chirurgicale pour toute lésion résécable et non métastatique ; la surveillance est maintenue à vie.