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Auteur Béatrice Husson |
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Imagerie de la sclérose en plaques de l’enfant / Béatrice Husson in Docteur imago, 28 (Juin - juillet - août - septembre 2022)
[article]
Titre : Imagerie de la sclérose en plaques de l’enfant : Maladies auto-immunes Type de document : texte imprimé Auteurs : Béatrice Husson ; K. Deiva ; Catherine Adamsbaum ; Inès Mannes Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 28-30 Langues : Français (fre) Catégories : [MESH] ENFANT Mots-clés : Sclérose en plaques IRM Encéphalomyélite Résumé : La sclérose en plaques (SEP) peut débuter dès l’enfance. Les cas éloquents dès l’âge pédiatrique représentent 5 % de l’ensemble des malades. L’IRM joue un rôle majeur pour le diagnostic et le suivi de ces patients. Une étude de l’encéphale et de la moelle doit être réalisée lors de tout événement clinique évocateur d’une pathologie démyélinisante inflammatoire. L’utilisation de séquences dans les 2 plans est privilégiée chez les enfants qui ont du mal à rester immobiles. Le diagnostic de la SEP en IRM nécessite une dissémination dans l’espace et le temps des lésions de substance blanche. Les lésions de SEP sont ovalaires, typiquement de grand axe perpendiculaire à celui du corps calleux, apparaissant en hypersignal FLAIR et T2 et situées dans la substance blanche périventriculaire ou sous-corticale. Chez les enfants les plus jeunes, la présence de lésions en franc hyposignal T1 est plutôt en faveur de la SEP. La première poussée de SEP pédiatrique peut être une encéphalomyélite aiguë disséminée, qui se présente comme une atteinte de la substance blanche typiquement étendue et à contours flous en imagerie. Une IRM de suivi est recommandée tous les 6 mois pour évaluer l’activité de la SEP pédiatrique. La constatation de nouvelles lésions est considérée comme un marqueur d’activité. Un avis spécialisé en entre de référence est recommandé avant tout diagnostic définitif.
in Docteur imago > 28 (Juin - juillet - août - septembre 2022) . - p. 28-30[article] Imagerie de la sclérose en plaques de l’enfant : Maladies auto-immunes [texte imprimé] / Béatrice Husson ; K. Deiva ; Catherine Adamsbaum ; Inès Mannes . - 2022 . - p. 28-30.
Langues : Français (fre)
in Docteur imago > 28 (Juin - juillet - août - septembre 2022) . - p. 28-30
Catégories : [MESH] ENFANT Mots-clés : Sclérose en plaques IRM Encéphalomyélite Résumé : La sclérose en plaques (SEP) peut débuter dès l’enfance. Les cas éloquents dès l’âge pédiatrique représentent 5 % de l’ensemble des malades. L’IRM joue un rôle majeur pour le diagnostic et le suivi de ces patients. Une étude de l’encéphale et de la moelle doit être réalisée lors de tout événement clinique évocateur d’une pathologie démyélinisante inflammatoire. L’utilisation de séquences dans les 2 plans est privilégiée chez les enfants qui ont du mal à rester immobiles. Le diagnostic de la SEP en IRM nécessite une dissémination dans l’espace et le temps des lésions de substance blanche. Les lésions de SEP sont ovalaires, typiquement de grand axe perpendiculaire à celui du corps calleux, apparaissant en hypersignal FLAIR et T2 et situées dans la substance blanche périventriculaire ou sous-corticale. Chez les enfants les plus jeunes, la présence de lésions en franc hyposignal T1 est plutôt en faveur de la SEP. La première poussée de SEP pédiatrique peut être une encéphalomyélite aiguë disséminée, qui se présente comme une atteinte de la substance blanche typiquement étendue et à contours flous en imagerie. Une IRM de suivi est recommandée tous les 6 mois pour évaluer l’activité de la SEP pédiatrique. La constatation de nouvelles lésions est considérée comme un marqueur d’activité. Un avis spécialisé en entre de référence est recommandé avant tout diagnostic définitif.